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28. Le vol 501 (2012)

Décembre 2012
Dessins : Yvan Fernandez
Scénario : Jean-Claude Laidin
Couleurs : Fabien Alquier

Alors que le lancement d’une nouvelle fusée Ariane est prévu à Kourou, un mystérieux groupe terroriste va enlever le fils d’une des responsables du système de navigation de la fusée afin d’obtenir d’elle la fourniture de plans « top secret ». Mais c’est sans compter sur Tanguy et Laverdure qui, malgré le peu d’indices, vont se lancer en plein cœur de la jungle guyanaise dans une mission aussi difficile que périlleuse. (Texte pris sur la 4ème de couverture)

« Parti de France à destination de la base de Nellis, dans le Nevada » (aux Etats-Unis d’Amérique !) « , une grosse formation aérienne survole la Guyane française. La traversée de l’Atlantique s’est faite par la route Sud, le survol maritime le plus court, de Dakar à Récife au Brésil, une escale est prévue à Cayenne. Quelques jours de repos et d’entraînement au profit des contrôleurs aériens de Toucan-Radar à Kourou. »
Ils atterrissent à l’aéroport de Rochambeau.

Le soir, lors du repas d’arrivée, Tanguy discute avec Isa (? !), qui lui confie un secret.
Le lendemain, le premier exercice a lieu : Mirage 2000 contre hélicoptère.
Puis visite de Cayenne et de son histoire.
Ensuite vient la partie de pêche à la ligne.

C’est au cours de celle-ci que Tanguy confie à Laverdure et à un coéquipier (bonjour le secret gardé !) ce que lui a dit Isabelle Thobard. Celle-ci était venue, l’autre soir, après avoir confier sa fille chez les Dufoulon.
Son fils a été enlevé, lui, il y a une dizaine de jours. Les ravisseurs exigent d’Isabelle qu’elle fournisse les plans du système de navigation de la fusée Ariane qui va bientôt décoller.

Mais elle s’est fait prendre par les services de sécurité qui surveillent régulièrement les enfants du personnel. Le lendemain la Direction Générale de la Sécurité Extérieure lui a remis les plans d’une version ancienne qui n’a pas été retenue.

Elle a fournit les plans mais les ravisseurs veulent maintenant qu’elle branche un petit boîtier en parallèle sur l’un des calculateurs de navigation.
Isabelle n’a plus confiance en les services de sécurité.

Pendant ce temps, en pleine forêt équatoriale, un énorme dirigeable à air chaud est en approche de l’endroit où, quelques jours plus tôt, il a déposé une équipe de botanistes.
L’équipe, au sol, est attaquée par un groupe armé et cagoulé. (Quel rapport avec les botanistes et le ballon ? Peut-être dans le tome 2 ?)

A Kourou, les radars détectent un avion dans la zone interdite. Les Mirage 2000, en patrouille, sont envoyés pour l’intercepter. Mais de celui-ci, ont sauté des parachutistes. Lorsque les 2000 arrivent, ils découvrent un monomoteur à ailes basses « Cherokee six » non immatriculé.

Les trois parachutistes descendent dans le noir en direction du hangar d’assemblage.
L’un d’eux pénètre dans le bâtiment.
Au PC sécurité, la porte haute est signalée ouverte. Une patrouille est envoyée pour la fermer car la caméra ne montre personne.
Mais l’ennemi a placé ou volé une carte électronique (ce n’est pas explicite ! ).
Les trois hommes sont dans la forêt avant qu’une patrouille arrive. Puis sont récupérés et emmenés vers une goélette.

Pendant ce temps, le petit avion, tente de fausser compagnie aux Mirages 2000, qu’il semblait suivre gentiment jusqu’à l’aéroport.
L’avion se crash dans un étang. Lorsque les gendarmes arrivent en hélicoptère, il est trop tard, les occupants se sont échappés en volant la voiture d’un Docteur amateur de grenouilles. Celui-ci les ayant vu tomber, est allé leur porter secours avec sa barque. Mais une fois sur la rive...

Concernant l’enlèvement du petit d’Isabelle il y a une piste : les téléphones portables. La Direction de la Surveillance du Territoire et la D.G.S.E. reconstituent, relais après relais, le chemin emprunté par chaque appel téléphonique.

La fusée va décoller. L’ennemi, dans la goélette, suit en direct la retransmission sur le canal de télévision interne du C.S.G. (Le Centre Spatial Guyanais).
La fusée décolle, mais l’ennemi n’arrive pas à la contrôler. Alors il décide de son plan B en déclenchant une petite explosion au niveau de la tuyère d’un E.A.P. (Etage d’Accélération à Poudre !).
La fusée dévie donc. Mais le C.S.G. N’arrive pas à la détruire. Mais en basculant, la fusée se casse. (Bien qu’ensuite on nous dit que c’est le C.S.G. Qui l’a fait exploser ?!)

Isabelle, assise à côté de Tanguy, dans le public du centre de lancement, est alors arrêtée.
La sécurité française a trouvé que tous les appels transitaient par un relais situé à côté du port. Ils pensent que les appels provenaient d’un gros bateau à voile : la grande goélette !
Les pilotes l’avaient déjà vu.

Ils se mettent à sa recherche...

Francis AIR