Aeroplanete.net

Bonjour,

Dernier album et c'est d'une pauvreté consternante.

Il n'apporte rien et surtout aucun lien avec le précédent c'est navrant de finir comme cela.

Je viens de lire le dernier LIGNE CLAIRE qui lui est consacré du peu que j'ai lu et vu :les bras m'en tombent !...

Puisqu'on en parle :

https://www.ligneclaire.info/anything-goes-278594.html

Il est là, tout beau, avec une Marilyn Monroe encore plus vraie que nature, superbe, fine mouche et courageuse, le dernier tome d’Angel Wings, le 8 Anything goes, le dernier avec Yann, tranche nettement et très agréablement avec les épisodes précédents. On n’en dit pas plus sur le talent délicat, enthousiasmant de Romain Hugault avec qui on avait évoqué en janvier dernier l’avenir d’Angela et surtout son nouveau projet dans les années 80 avec une femme pilote et une nouvelle scénariste. Le tout sur un zinc mythique dont on a pu voir une très belle ébauche sur Facebook. Bon donc Angela fait un peu de figuration intelligente, CIA oblige, vole vers un futur plus pacifique et sait-on jamais reprendra du service. Mais place à la très charmante et attachante Miss Monroe personnage principal pour sa tournée authentique (Romain a peaufiné les détails) sur le front de Corée après la signature du cessez le feu du 27 juillet 1953. Un bonheur en forme d’apothéose.
(...)

Sauf imprévu, je lirai cet album demain (après avoir relu le précédent).

Lu le tome 8, et relu le 7.

Vu les commentaires, je m'attendais à bien pire.

Oui, le scénario n'est pas dans la continuité du 7, mais ça ne m'a pas dérangé. Si le personnage principal et son acolyte (très discret sur cet album) sont toujours là, la priorité est ailleurs. Mais si les évènements tournent autour de la "guest star" Marylin, l'aspect intéressant n'est pas nécessairement lié à elle.

Quelques belles scènes aériennes, parfois en décalage par rapport à l'intrigue principale, mais intéressantes quand même. Le talent de Romain Hugault n'est plus à démontrer. Même s'il a pu rater la perspective à l'occasion d'une case montrant une scène de spectacle, ses dessins d'aéronefs, en particulier "en action", restent un must.

Si je devais faire un reproche, c'est surtout pour la trop grande part dédiée à Marylin en matière de planches de dessins, notamment lors des concerts. A mon avis, ça ralentit inutilement l'intrigue et prend de la place sur d'autres aspects du scénario qui auraient pu être plus développés.

Au final, je ne sais pas ce que donneront mes relectures ultérieures de cet album (si souvent fatales à nombre de mes BD au cour du temps), mais plutôt satisfait de mon acquisition pour cette première vision.